55 jours au coro | JCMARTINEZ2023
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Jean- Claude MARTINEZ

 

 

 

 

55 jours

au coronalithique

 

 

Une brève

 

Histoire de l’absurdité

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« Pourquoi sommes-nous devenus aveugles,

Je ne sais pas, on découvrira peut-être un jour la raison,

Veux-tu que je te dise ce que je pense,

Dis, Je pense que nous étions aveugles, Des aveugles qui voient,

Des aveugles qui, voyant , ne voient pas. »

 

José Saramago

L’aveuglement,

Seuil, 1997 p. 302

Sommaire

 

Clinique du corona

Que nous est il arrivé ?

Constat des  absurdités

 

II 

Mécanique jusqu’au corona

Comment cela nous est il arrivé ?

Enchaînement des  absurdités

 

III

 Thérapeutique post corona

Comment ne plus le revoir arriver ?

Rompre l’addiction   aux    absurdités

Préface

 

Corona mon amour, une comptine pour toi :

 

« Un pangolin jaune qui courait dans l’herbe,

je l’attrape par la queue ...»

 

 

On l’a déjà oublié. Et pourtant c’était il y a à peine quelques mois, souvenons  nous des « alertes  corona ». On nous les diffusait sans arrêt , comme s’il en pleuvait , autant que des virus qui flottaient. Il y en avait pour tout ,  pour  les gestes , les  barrières, les distances , les gels , se laver  les  mains , peut être je me demande  aussi si on n’ en a pas entendu  une qui disait même :

 

Alerte corona

 

Lavez vous les idées

N’embrassez pas vos convictions.

Respectez une distanciation intellectuelle

 

Si vous affirmez

Que vous avez des certitudes

Et que vous avez de la fièvre militante

 

Restez chez vous

Eteignez la télévision

 

N’appelez pas votre médecin

Le pauvre, il ne sait vraiment rien .

 

Et même pour le 15 ...

Réfléchissez,

Si vous êtes âgé, ils vont vous trier

Et après ,  ils peuvent vous  « Rivotriliser »

 

     Ceci était ce un  des messages du Ministère de la lucidité ? On ne sait plus , tellement  nous avons  été « Goebbelisés ». Avec toutes  ces  alertes corona pour  tous ces héros du quotidien, travailleuses, travailleurs, qui continuaient à télé-travailler  voire    à télé-gérer leurs biens en respectant aisément les barrières de classes, en en cachant sous le coude ou  en achetant du Korian et de l’Orpea, puisque le  cours  de ces actions  remonterait dès lors que  d’autres vieux  forcément  y seraient   enfermés.

 

Tous ces messages là ,  du ministère des privilégiés ou de tous les ministères  qui s’étaient  mobilisés , c’est à Corona,  petite boule piquante en micro hérisson malicieux ,  que l’on a dû la chance de les avoir entendus . Même si on les a  déjà bien oubliés. 

 Tout comme on a oublié aussi le bon docteur Jérôme Salomon, qui tous les soirs pourtant, faux   gros nounours de la télévision des sixties   , nous a égrené , avant de nous dire « bonne nuit les petits  confinés »,  le nombre des morts et  de jolies comptines  : 

 

« Un pangolin jaune qui courait  dans l’herbe,

Je  l’attrape par la queue,

Je le montre   à ces messieurs

Ces messieurs  me disent

trempez le dans l’huile

trempez le dans l’eau

ça fera un corona tout chaud . »

 

Eh ! oui . Tout cela , plus le temps va passer et qu’en 2022 Emmanuel sera repassé, parfois , certains soirs, pareil au minotaure triste au bout  de son couloir,  nous  , les 65 millions de Nicolas et Pimprenelle qui avions été confinés,  on va  se dire :  « au fond, c’est vrai ,  on a été   heureux  enfermés.... ». Comme les allemands de RDA  d’ailleurs qui eux aussi , aujourd’hui , regrettent  le mur , derrière lequel , comme nous , ils avaient  été nourris , sans même avoir besoin de faire    semblant de télé-travailler. Simplement eux , le confinement  avait  duré une bonne vingtaine d’années , alors que nous à peine une cinquantaine de journées .

 

Mais bon, c’est ainsi. Depuis,  toutefois,  ensemble , tous unis, nous avons tout de même vaincu la vérité. Ainsi  sur les masques , les hôpitaux , le vrai nombre des morts,  pourquoi  ont  ils  si mal géré l’épidémie ,  leur histoire de rebond ou  de dé-confinement risqué , la magie de leurs   milliards distribués , ceux de leurs amis qui les ont vraiment encaissés, l’état réel du pays soit disant en économie effondrée   , comme pour l’amiante, le sang contaminé, le nuage de Tchernobyl,  Boulin,  Grossouvre , Bérégovoy,   Karachi, l’élimination de Kadhafi ou les complicités au sommet qui ont protégé Jérôme Cahuzac, cette fois encore, solidaires, rassemblés et citoyens , on a  fini par arriver à ne savoir jamais .

 

 Bien sûr aujourd’hui il y a des procès, des cours de justice de la République  saisies, mais en final on le sait bien , tout le monde sera blanchi. Il n’y a eu qu’un cas , pas très ancien d’ailleurs, où un poursuivi a été condamné . Mais il s’agissait d’un des derniers grands patrons français  et pas d’un grand élu, alors bien sûr cela avait tout changé . Là aussi on a oublié.

 

C’était le  23 septembre 2019 . S’ouvrait alors  à Paris  le procès du laboratoire Servier. Un des derniers grands laboratoires français,  que  le travail immense  et une vie de moine,  toute entière consacrée à la recherche , avait permis à Jacques Servier de  bâtir , au service de la souveraineté pharmaceutique de la France.  Parce qu’à l’époque ,  ne sachant  guère  que tous les médicaments  avalés par les français et les européens venaient  d’ Inde ou de Chine, sans  parler des masques ou des appareils respiratoires, on n’avait pour priorité  sanitaire que de flageller  la dernière poignée  de nos laboratoires nationaux  et non   de penser un grand plan  d’indépendance pharmaceutique nationale. Ainsi donc , il y a quelques  mois à peine, la grande question de santé  c’était  l’affaire dite du Médiator,  médicament qui avait  provoqué des altérations  des  valvules cardiaques , et qu’une pneumologue du CHU de Brest , Irène  Frachon,  avait dénoncé en 2007.

 

C’était le scandale sanitaire du XXIème siècle, --pour le XXème on avait eu l’embarras du choix  depuis  la   thalidomide  -----  avec un livre à succès , « Mediator 150g, combien de morts ? ». Après dix ans d’enquête , le docteur Frachon  , aussi célèbre à l’époque que le quatuor de printemps  2020 des docteurs Salomon, Véran , Raoult et bien sûr Delfraissy,  réunis, y révélait les effets valvulo-pathogènes de ce médicament. En ces temps là bien sûr, la pneumologue , pendant ses enquêtes, ne pouvait pas s’inquiéter de l’absence , en nombre suffisant , d’appareils  pour aider à respirer. C’était  normal,  une pneumologue , même si elle s’intéresse aux poumons,  n’est pas une assistante  respiratoire. A chacun sa spécialité. Et puis  ce n’était pas d’actualité. Puisque chacun sait, qu’on  ne traite les problèmes qu’en fonction de l’actualité.

Ainsi donc, il y a quelques  mois l’actualité  et donc l’important  sanitairement, c’était le Médiator . Comme le 15 mars  2020, politiquement , l’actualité et donc  l’important , c’était de voter. 

Certes  avant , « gouverner  c’était prévoir » et même au Maroc « gouverner c’était pleuvoir ». Mais maintenant, gouverner c’est communiquer. L’Elysée et  Matignon ont donc   communiqué pendant ces 55 jours où on nous a  enfermé. Avec, par exemple,  vous en souvenez , les communiqués sur  ces  TGV fantômes qui fonçaient   dans « nuit  et brouillard »,  ramenant  sur la Loire , à l’arrière du front de l’imprévoyance, ,quelques compatriotes français tombés haletant   sur les lignes lorraines de la nouvelle  défaite de 1870 de l’empire de la suffisance  désarmée; plus un hélicoptère qui sauvait  deux français en décollant, comme en 1968,  vers Baden- Baden et un navire projecteur de forces  de notre Royale   qui avait  permis   à six de nos frères  corses de  pouvoir débarquer  en détresse sur  Marseille , les « aires » pulmonaires  foudroyées , bien loin   de nos aigles d’avant  qui débarquaient de l’île  d’Elbe , non pas avec  un hologramme d’empereur ,  mais avec  un  vrai général qui savait où  il allait.

Mais voilà, c’est déjà du passé . On ne va pas ruminer la  colère , même si nous sommes  restés deux mois enfermés impuissants , n’ayant eu d’autre solution que d’attendre. Dans notre pays nord saharien,  industriellement et  scolairement en voie de sous développement . Nous avons attendus  que des Kouchner chinois nous livrent  sinon des sacs de riz,  au  moins des masques , pour les biens  portant d’entre nous , à défaut des appareils respiratoires pour les milliers d’entre nous qui mouraient , condamnés, seuls chez eux,   sciemment oubliés  ou dans les camps de concentration virale des  308 EPAHD de Korian et des autres , aux 750 000  cloitrés,  que nous avons  tolérés , bien  que nous les finançons  à 50 % par  nos impôts, via un forfait dépendance versé par les départements  et un forfait soins versés par la Caisse d’assurance maladie. Etant entendu que les bénéfices ainsi réalisés par ces privés, financés par le public, sont intégralement reversés aux actionnaires.Certes , pendant ces  semaines où ils nous avaient  confinés , ils auraient dû appliquer l’appareil législatif et règlementaire de l’état de guerre,   réquisitionnant  ainsi  toutes les usines , de textile et de mécanique ,  les convertissant en  chaîne de fabrication de masques , de blouses , de gants , de respirateurs,   etc... Ce que le Maroc lui a fait , fournissant ainsi à  chacun de ses 38 millions d’habitants des protections. Au point qu’ils n’ont eu que 212 morts, quand nous en avons eu 30 000 .

 

  Mais voilà. On ne peut pas tout avoir. Si les marocains ont eu en effet les vivants,  nous , nous avons été la seule nation au monde à avoir tout de même inventé les applaudissements. Eh !oui. Même Clémenceau, dans un  pays  qui avait pourtant  déjà inventé  le taxi pour aller à la guerre, n’avait pas pensé demander aux  français de 1916, d’applaudir tous les soirs aux balcons les  poilus de Verdun , avant de refermer leurs fenêtres pour regarder à la télé un docteur  égrener  le nombre de morts , à la virgule près , dans les tranchées . Il est vrai qu’il n’y avait pas la télé...

 

On ne va pas ressasser tout cela . Même si dans une  nation  qui a connu les  tranchées ,  les maquis , l’Indo et l’ Algérie, une classe d’âge d’aujourd’hui  ,  quand ses  grands parents meurent asphyxiés par milliers, aurait pu  être  , à proportion  des nécessités ,  mobilisée en une sorte d’ Erasmus ++. Dans les champs, les usines, les hôpitaux et sur les fronts où on aurait eu  besoin d’elle  en action. D’autant  qu’en plus, les  savant  experts des plateaux   des télés   expliquaient  et réexpliquaient  que le corona était une maladie de vieux que les jeunes n’attrapaient pas. Et être en service universel sur tous nos archipels de tous les   océans, de Nouméa à Clipperton et de Tahiti à la Terre Adélie ,plus l’archipel du goulag des Ehpad , pour des milliers de jeunes abandonnés dans la galère, aurait été tout de même autre chose que de faire Koh-Lanta. D’autant qu’ils auraient pu jouer aussi à l’hôpital des héros.

 

Pendant des semaines , les masques  et toutes  les fourniture  sanitaires auraient pu être ainsi produits nationalement en masse , au lieu d’expliquer , à longueur de conférences , que l’on  faisait des commandes au père noël chinois    . Tout comme les femmes de France  avaient  produit  en 1917   dans les usines les obus par milliers et  assuré les récoltes, tout comme aussi , il  y a  des siècles , d’autres femmes de France avaient   filé la quenouille un an durant   pour payer la rançon de délivrance  du connétable  Du Guesclin , une classe d’âge aurait pu être au pied  des chaînes de montage reconverties .

 

Pourquoi   ne l’ a – t-on pas fait  ? Pourquoi  l’usine de fabrication de bouteilles  d’oxygène du Puy de Dôme, seule  existante en Europe ,  fermée depuis janvier 2020,   n’a pas été ré-ouverte , comme les huit chaînes de fabrication de masques de l’ usine des Côtes d’ Armor , fermée elle aussi depuis 2018 ? C’est un  des mystères de cette épidémie de  Corona , comme a été un mystère la raison pour laquelle, après des centaines de milliers de morts, depuis 1914,   il  avait fallu attendre le 15 mai 1917 pour limoger l’incapable général Nivelle.

 

Les histoires de famille sont compliquées et on ne refait pas d’ailleurs  l’histoire. Au mieux on  l’écrit. Je vais donc écrire une   brève histoire de ces 55 jours où la France a découvert qu’elle était un pays nord saharien, au système hospitalier et au régime politique présidentiel d’un  pays de la francophonie subsaharienne.              

 

C’est une brève histoire d’absurdités démultipliées  s’enchainant  depuis une trentaine d’années en une mécanique infernale qui a fini par conduire au corona , parce qu’un virus n’est rien  d’autre  qu’un sédentaire inerte si le terrain  et les hommes ne  lui permettent pas de nomadiser à l’ensemble de l’humanité. Or là, pour le corona , rarement les hommes en ont fait autant , multipliant les politiques  d’absurdes  pour permettre à ce virus de circuler en toute liberté de Hub en hub, de voyageur en voyageur , de route de la soie en avions chinois , de footballeurs, à Bergame ou Lyon , en évangélistes à Mulhouse.

 

Bien sûr ce n’est pas d’aujourd’hui que les décisions absurdes existent. Un livre leur  a même été consacré. Par exemple  des généraux on le sait avaient commencé  une ligne Maginot dans les Ardennes et ne l’avaient  pas continué en frontière de la Belgique jusqu’à la mer du nord.  Par où évidemment la Wehrmacht est passée tranquillement. Dans le même style, le général de Gaulle accorde l’indépendance  politique aux départements français d’Algérie dont les habitants  ont  tout naturellement  créés,  60 ans après ,  leurs  départements   démographiques algériens sur des territoires français.

 

Mais dans le cas du corona, l’absurdité a été  au sommet, globale, généralisée. Elle  n’a pas été  la  décision d’un seul , mais  collective , dupliquée ,mimétique , affolée , planétisée. C ‘est toute  l’espèce sapiens elle même, pour la première fois dans les 300 OOO ans de son apparition au Djebel Irouk , à 100 km de l’emplacement de Marrakech, qui s’est mise en pilotage psychotique  automatique. Il suffit de consulter la bible DSM III des troubles cliniques de tout épisode de psychose pour voir de façon saisissante que brutalement des centaines de millions de sapiens ont bien fait une bouffée  de ce qui ressemble  à une  flambée psychotique

 

Je cite les troubles de ces épisodes  décrits par DSM III:, le livre de référence clef des affections neurologiques

 

  • « La personne atteinte  s’isole , elle  demeure dans sa chambre toute la journée ;

  • Ses activités habituelles, son travail, ses études ou ses amis ne l’intéressent plus comme avant;ses émotions se modifient : par exemple, la personne paraît  indifférente ,détachée ou coupée du monde;

  • elle a des idées étranges ou fausses, des préoccupations ou des croyances bizarres. Par exemple, elle peut avoir l’impression que sa vie est menacée   par une force extérieure;

  • ses pensées sont  incohérentes ; ses propos sont illogiques ou vagues;

  • elle a des comportements inhabituels : par exemple, craint  de manger, de toucher,  de peur d’être contaminée;

  • Les idées délirantes peuvent angoisser la personne atteinte ou la rendre anxieuse. Elle peut par exemple ressentir une insécurité permanente »

 Qui  veut bien lire ce tableau clinique ne reconnaît il pas les comportements sur le corona, qui  non seulement est transmis par les emballages , le  carton , le plastic, le toucher, mais  qui en plus flotte dans l’air, traine par terre , saute à un mètre, voire à quatre mètres et plus comme Carl Lewis; se déguise, mute , rebondi et autres coquecigrues distillées par des hyper-diplômés qui ont fait croire à un ennemi viral guettant , surveillant  , suivant ,persécutant. Même un ancien directeur général de la santé, William Dab, allait jusqu’à parler d’« un ennemi qui attaque dès qu’il en a l’occasion en profitant de chacune de nos faiblesses »( Le Monde 14 juin 2020,p.6).

D’où les  barrières métalliques dans les marchés pour ne pas approcher les étals ; les propos incohérents , confus , sur la nicotine, la chloroquine , les masques inutiles puis indispensables ;  l’enfermement  à vie des vieux ;  les comportements étranges. On a vu ainsi un maire interdire de marcher à plus de 10 mètres de sa maison. Le maire de Béziers  est allé lui jusqu’à faire enlever tous les bancs de sa ville pour ne pas se contaminer  par l’arrière train en s’y posant et il n’a pas été interné..., comme atteint par ce que BHL a appelé « ce virus qui rend fou ».

Quand DSM III mentionne l’humeur changeante où en quelques minutes   la personne peut  passer de l’apathie à être anormalement surexcitée, comment ne pas reconnaître aussi  des milliers de personnes qui brutalement ouvrent leurs fenêtres, apparaissent sur des balcons, s’agitent, crient, applaudissent dans le vide,  chatent à tue tête, puis aussi brutalement   se renferment pour  24 h de plus.  Or une personne qui tous les soirs à 20h chanterait la marseillaise à sa fenêtre, mettrait une sono plein pot et sauterait sur place en criant à son balcon, évidemment  qu’un voisin appellerait le Samu et que le préfet prendrait un arrêté d’internement . Pourtant du 20  mars au 11  Mai 2020,  65 millions  de français ont eu ce tableau clinique,  comme en Italie aussi  et donc évidemment il n’y a pas eu  d’internement de masse possible. Puisque les troubles étant devenus la norme statistique, ils cessaient d’être « a »   normaux      ;

Pour autant, le tableau du comportement  psychotique a bien été là. Plus tard, comme pour l’asphyxie d’ Adama Traoré,  les historiens discuteront le point de savoir si ce virus  a  réellement « rendu fou » , comme le pense le docteur légiste de la philosophie Bernard Henry Lévy. Mais en toute hypothèse, en plus d’avoir frappé en priorité les vieux, les gros, les sucrés et les hypertendus, il a manifestement ciblé aussi le néo cortex des dirigeants politiques,  les conduisant à  des comportements étranges et à  des décisions absurdes. J’en dresse maintenant  le constat

Du même auteur :

  • La guerre et le droit, Pedone 1983.

  • Lettre ouverte au contribuable, Albin Michel, 1985.

  • La Nouvelle Calédonie, la stratégie, le droit et la République, Préface d’Alain Poher, Pedone, 1985.

  • Le Commerce des armes de guerre, Que Sais-je ? PUF, 1985, traduction Téhéran. 1789-1989,

  • La Révolution fiscale à refaire, Litec 1988. L’impôt sur le revenu en question, Litec 1989.

  • Autant en emporte l’Europe, Jean- Cyril Godefroy, 1989

  • La fraude fiscale, Que sais-je ? PUF, 1990. Traduction Mexico

  • Droit budgétaire, budgets locaux, budget de la sécurité sociale, budget de l’État, budget européen, Litec 1999.

  • Europe–États-Unis, la guerre agricole de 40 ans, L’Harmattan, 2003.

  • La faucille ou le Mc Do, L’Europe et les États-Unis dans le nouvel ordre alimentaire mondial, Lettres du Monde 2003.

  • Une constitution fiscale pour l’Europe, Lettres du Monde, 2004.

  • Les droits de douane déductibles, contre le retour du protectionnisme, L’Harmattan, 2008.

  • Les 7 sujets dont les candidats à la présidentielle ne vous parlent pas, France-Empire,

  • 2012Mohammed VI, Le roi stabilisateur, Jean-Cyrille Godefroy, 2015, traduction Madrid.

  • L’OMC de Marrakech à Washington, L’Harmattan, 2017.

  • Ma République des maires. En finir avec la présidentielle, Jean-Cyrille Godefroy, 2017.

  • Dictionnaire irrévérencieux du Parlement européen, 2019

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