Jean Claude
MARTINEZ
Jean- Claude MARTINEZ
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55 jours
au coronalithique
Une brève
Histoire de l’absurdité
« Pourquoi sommes-nous devenus aveugles,
Je ne sais pas, on découvrira peut-être un jour la raison,
Veux-tu que je te dise ce que je pense,
Dis, Je pense que nous étions aveugles, Des aveugles qui voient,
Des aveugles qui, voyant , ne voient pas. »
José Saramago
L’aveuglement,
Seuil, 1997 p. 302
Sommaire
I
Clinique du corona
Que nous est il arrivé ?
Constat des absurdités
II
Mécanique jusqu’au corona
Comment cela nous est il arrivé ?
Enchaînement des absurdités
III
Thérapeutique post corona
Comment ne plus le revoir arriver ?
Rompre l’addiction aux absurdités
Préface
Corona mon amour, une comptine pour toi :
« Un pangolin jaune qui courait dans l’herbe,
je l’attrape par la queue ...»
On l’a déjà oublié. Et pourtant c’était il y a à peine quelques mois, souvenons nous des « alertes corona ». On nous les diffusait sans arrêt , comme s’il en pleuvait , autant que des virus qui flottaient. Il y en avait pour tout , pour les gestes , les barrières, les distances , les gels , se laver les mains , peut être je me demande aussi si on n’ en a pas entendu une qui disait même :
Alerte corona
Lavez vous les idées
N’embrassez pas vos convictions.
Respectez une distanciation intellectuelle
Si vous affirmez
Que vous avez des certitudes
Et que vous avez de la fièvre militante
Restez chez vous
Eteignez la télévision
N’appelez pas votre médecin
Le pauvre, il ne sait vraiment rien .
Et même pour le 15 ...
Réfléchissez,
Si vous êtes âgé, ils vont vous trier
Et après , ils peuvent vous « Rivotriliser »
Ceci était ce un des messages du Ministère de la lucidité ? On ne sait plus , tellement nous avons été « Goebbelisés ». Avec toutes ces alertes corona pour tous ces héros du quotidien, travailleuses, travailleurs, qui continuaient à télé-travailler voire à télé-gérer leurs biens en respectant aisément les barrières de classes, en en cachant sous le coude ou en achetant du Korian et de l’Orpea, puisque le cours de ces actions remonterait dès lors que d’autres vieux forcément y seraient enfermés.
Tous ces messages là , du ministère des privilégiés ou de tous les ministères qui s’étaient mobilisés , c’est à Corona, petite boule piquante en micro hérisson malicieux , que l’on a dû la chance de les avoir entendus . Même si on les a déjà bien oubliés.
Tout comme on a oublié aussi le bon docteur Jérôme Salomon, qui tous les soirs pourtant, faux gros nounours de la télévision des sixties , nous a égrené , avant de nous dire « bonne nuit les petits confinés », le nombre des morts et de jolies comptines :
« Un pangolin jaune qui courait dans l’herbe,
Je l’attrape par la queue,
Je le montre à ces messieurs
Ces messieurs me disent
trempez le dans l’huile
trempez le dans l’eau
ça fera un corona tout chaud . »
Eh ! oui . Tout cela , plus le temps va passer et qu’en 2022 Emmanuel sera repassé, parfois , certains soirs, pareil au minotaure triste au bout de son couloir, nous , les 65 millions de Nicolas et Pimprenelle qui avions été confinés, on va se dire : « au fond, c’est vrai , on a été heureux enfermés.... ». Comme les allemands de RDA d’ailleurs qui eux aussi , aujourd’hui , regrettent le mur , derrière lequel , comme nous , ils avaient été nourris , sans même avoir besoin de faire semblant de télé-travailler. Simplement eux , le confinement avait duré une bonne vingtaine d’années , alors que nous à peine une cinquantaine de journées .
Mais bon, c’est ainsi. Depuis, toutefois, ensemble , tous unis, nous avons tout de même vaincu la vérité. Ainsi sur les masques , les hôpitaux , le vrai nombre des morts, pourquoi ont ils si mal géré l’épidémie , leur histoire de rebond ou de dé-confinement risqué , la magie de leurs milliards distribués , ceux de leurs amis qui les ont vraiment encaissés, l’état réel du pays soit disant en économie effondrée , comme pour l’amiante, le sang contaminé, le nuage de Tchernobyl, Boulin, Grossouvre , Bérégovoy, Karachi, l’élimination de Kadhafi ou les complicités au sommet qui ont protégé Jérôme Cahuzac, cette fois encore, solidaires, rassemblés et citoyens , on a fini par arriver à ne savoir jamais .
Bien sûr aujourd’hui il y a des procès, des cours de justice de la République saisies, mais en final on le sait bien , tout le monde sera blanchi. Il n’y a eu qu’un cas , pas très ancien d’ailleurs, où un poursuivi a été condamné . Mais il s’agissait d’un des derniers grands patrons français et pas d’un grand élu, alors bien sûr cela avait tout changé . Là aussi on a oublié.
C’était le 23 septembre 2019 . S’ouvrait alors à Paris le procès du laboratoire Servier. Un des derniers grands laboratoires français, que le travail immense et une vie de moine, toute entière consacrée à la recherche , avait permis à Jacques Servier de bâtir , au service de la souveraineté pharmaceutique de la France. Parce qu’à l’époque , ne sachant guère que tous les médicaments avalés par les français et les européens venaient d’ Inde ou de Chine, sans parler des masques ou des appareils respiratoires, on n’avait pour priorité sanitaire que de flageller la dernière poignée de nos laboratoires nationaux et non de penser un grand plan d’indépendance pharmaceutique nationale. Ainsi donc , il y a quelques mois à peine, la grande question de santé c’était l’affaire dite du Médiator, médicament qui avait provoqué des altérations des valvules cardiaques , et qu’une pneumologue du CHU de Brest , Irène Frachon, avait dénoncé en 2007.
C’était le scandale sanitaire du XXIème siècle, --pour le XXème on avait eu l’embarras du choix depuis la thalidomide ----- avec un livre à succès , « Mediator 150g, combien de morts ? ». Après dix ans d’enquête , le docteur Frachon , aussi célèbre à l’époque que le quatuor de printemps 2020 des docteurs Salomon, Véran , Raoult et bien sûr Delfraissy, réunis, y révélait les effets valvulo-pathogènes de ce médicament. En ces temps là bien sûr, la pneumologue , pendant ses enquêtes, ne pouvait pas s’inquiéter de l’absence , en nombre suffisant , d’appareils pour aider à respirer. C’était normal, une pneumologue , même si elle s’intéresse aux poumons, n’est pas une assistante respiratoire. A chacun sa spécialité. Et puis ce n’était pas d’actualité. Puisque chacun sait, qu’on ne traite les problèmes qu’en fonction de l’actualité.
Ainsi donc, il y a quelques mois l’actualité et donc l’important sanitairement, c’était le Médiator . Comme le 15 mars 2020, politiquement , l’actualité et donc l’important , c’était de voter.
Certes avant , « gouverner c’était prévoir » et même au Maroc « gouverner c’était pleuvoir ». Mais maintenant, gouverner c’est communiquer. L’Elysée et Matignon ont donc communiqué pendant ces 55 jours où on nous a enfermé. Avec, par exemple, vous en souvenez , les communiqués sur ces TGV fantômes qui fonçaient dans « nuit et brouillard », ramenant sur la Loire , à l’arrière du front de l’imprévoyance, ,quelques compatriotes français tombés haletant sur les lignes lorraines de la nouvelle défaite de 1870 de l’empire de la suffisance désarmée; plus un hélicoptère qui sauvait deux français en décollant, comme en 1968, vers Baden- Baden et un navire projecteur de forces de notre Royale qui avait permis à six de nos frères corses de pouvoir débarquer en détresse sur Marseille , les « aires » pulmonaires foudroyées , bien loin de nos aigles d’avant qui débarquaient de l’île d’Elbe , non pas avec un hologramme d’empereur , mais avec un vrai général qui savait où il allait.
Mais voilà, c’est déjà du passé . On ne va pas ruminer la colère , même si nous sommes restés deux mois enfermés impuissants , n’ayant eu d’autre solution que d’attendre. Dans notre pays nord saharien, industriellement et scolairement en voie de sous développement . Nous avons attendus que des Kouchner chinois nous livrent sinon des sacs de riz, au moins des masques , pour les biens portant d’entre nous , à défaut des appareils respiratoires pour les milliers d’entre nous qui mouraient , condamnés, seuls chez eux, sciemment oubliés ou dans les camps de concentration virale des 308 EPAHD de Korian et des autres , aux 750 000 cloitrés, que nous avons tolérés , bien que nous les finançons à 50 % par nos impôts, via un forfait dépendance versé par les départements et un forfait soins versés par la Caisse d’assurance maladie. Etant entendu que les bénéfices ainsi réalisés par ces privés, financés par le public, sont intégralement reversés aux actionnaires.Certes , pendant ces semaines où ils nous avaient confinés , ils auraient dû appliquer l’appareil législatif et règlementaire de l’état de guerre, réquisitionnant ainsi toutes les usines , de textile et de mécanique , les convertissant en chaîne de fabrication de masques , de blouses , de gants , de respirateurs, etc... Ce que le Maroc lui a fait , fournissant ainsi à chacun de ses 38 millions d’habitants des protections. Au point qu’ils n’ont eu que 212 morts, quand nous en avons eu 30 000 .
Mais voilà. On ne peut pas tout avoir. Si les marocains ont eu en effet les vivants, nous , nous avons été la seule nation au monde à avoir tout de même inventé les applaudissements. Eh !oui. Même Clémenceau, dans un pays qui avait pourtant déjà inventé le taxi pour aller à la guerre, n’avait pas pensé demander aux français de 1916, d’applaudir tous les soirs aux balcons les poilus de Verdun , avant de refermer leurs fenêtres pour regarder à la télé un docteur égrener le nombre de morts , à la virgule près , dans les tranchées . Il est vrai qu’il n’y avait pas la télé...
On ne va pas ressasser tout cela . Même si dans une nation qui a connu les tranchées , les maquis , l’Indo et l’ Algérie, une classe d’âge d’aujourd’hui , quand ses grands parents meurent asphyxiés par milliers, aurait pu être , à proportion des nécessités , mobilisée en une sorte d’ Erasmus ++. Dans les champs, les usines, les hôpitaux et sur les fronts où on aurait eu besoin d’elle en action. D’autant qu’en plus, les savant experts des plateaux des télés expliquaient et réexpliquaient que le corona était une maladie de vieux que les jeunes n’attrapaient pas. Et être en service universel sur tous nos archipels de tous les océans, de Nouméa à Clipperton et de Tahiti à la Terre Adélie ,plus l’archipel du goulag des Ehpad , pour des milliers de jeunes abandonnés dans la galère, aurait été tout de même autre chose que de faire Koh-Lanta. D’autant qu’ils auraient pu jouer aussi à l’hôpital des héros.
Pendant des semaines , les masques et toutes les fourniture sanitaires auraient pu être ainsi produits nationalement en masse , au lieu d’expliquer , à longueur de conférences , que l’on faisait des commandes au père noël chinois . Tout comme les femmes de France avaient produit en 1917 dans les usines les obus par milliers et assuré les récoltes, tout comme aussi , il y a des siècles , d’autres femmes de France avaient filé la quenouille un an durant pour payer la rançon de délivrance du connétable Du Guesclin , une classe d’âge aurait pu être au pied des chaînes de montage reconverties .
Pourquoi ne l’ a – t-on pas fait ? Pourquoi l’usine de fabrication de bouteilles d’oxygène du Puy de Dôme, seule existante en Europe , fermée depuis janvier 2020, n’a pas été ré-ouverte , comme les huit chaînes de fabrication de masques de l’ usine des Côtes d’ Armor , fermée elle aussi depuis 2018 ? C’est un des mystères de cette épidémie de Corona , comme a été un mystère la raison pour laquelle, après des centaines de milliers de morts, depuis 1914, il avait fallu attendre le 15 mai 1917 pour limoger l’incapable général Nivelle.
Les histoires de famille sont compliquées et on ne refait pas d’ailleurs l’histoire. Au mieux on l’écrit. Je vais donc écrire une brève histoire de ces 55 jours où la France a découvert qu’elle était un pays nord saharien, au système hospitalier et au régime politique présidentiel d’un pays de la francophonie subsaharienne.
C’est une brève histoire d’absurdités démultipliées s’enchainant depuis une trentaine d’années en une mécanique infernale qui a fini par conduire au corona , parce qu’un virus n’est rien d’autre qu’un sédentaire inerte si le terrain et les hommes ne lui permettent pas de nomadiser à l’ensemble de l’humanité. Or là, pour le corona , rarement les hommes en ont fait autant , multipliant les politiques d’absurdes pour permettre à ce virus de circuler en toute liberté de Hub en hub, de voyageur en voyageur , de route de la soie en avions chinois , de footballeurs, à Bergame ou Lyon , en évangélistes à Mulhouse.
Bien sûr ce n’est pas d’aujourd’hui que les décisions absurdes existent. Un livre leur a même été consacré. Par exemple des généraux on le sait avaient commencé une ligne Maginot dans les Ardennes et ne l’avaient pas continué en frontière de la Belgique jusqu’à la mer du nord. Par où évidemment la Wehrmacht est passée tranquillement. Dans le même style, le général de Gaulle accorde l’indépendance politique aux départements français d’Algérie dont les habitants ont tout naturellement créés, 60 ans après , leurs départements démographiques algériens sur des territoires français.
Mais dans le cas du corona, l’absurdité a été au sommet, globale, généralisée. Elle n’a pas été la décision d’un seul , mais collective , dupliquée ,mimétique , affolée , planétisée. C ‘est toute l’espèce sapiens elle même, pour la première fois dans les 300 OOO ans de son apparition au Djebel Irouk , à 100 km de l’emplacement de Marrakech, qui s’est mise en pilotage psychotique automatique. Il suffit de consulter la bible DSM III des troubles cliniques de tout épisode de psychose pour voir de façon saisissante que brutalement des centaines de millions de sapiens ont bien fait une bouffée de ce qui ressemble à une flambée psychotique
Je cite les troubles de ces épisodes décrits par DSM III:, le livre de référence clef des affections neurologiques
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« La personne atteinte s’isole , elle demeure dans sa chambre toute la journée ;
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Ses activités habituelles, son travail, ses études ou ses amis ne l’intéressent plus comme avant;ses émotions se modifient : par exemple, la personne paraît indifférente ,détachée ou coupée du monde;
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elle a des idées étranges ou fausses, des préoccupations ou des croyances bizarres. Par exemple, elle peut avoir l’impression que sa vie est menacée par une force extérieure;
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ses pensées sont incohérentes ; ses propos sont illogiques ou vagues;
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elle a des comportements inhabituels : par exemple, craint de manger, de toucher, de peur d’être contaminée;
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Les idées délirantes peuvent angoisser la personne atteinte ou la rendre anxieuse. Elle peut par exemple ressentir une insécurité permanente »
Qui veut bien lire ce tableau clinique ne reconnaît il pas les comportements sur le corona, qui non seulement est transmis par les emballages , le carton , le plastic, le toucher, mais qui en plus flotte dans l’air, traine par terre , saute à un mètre, voire à quatre mètres et plus comme Carl Lewis; se déguise, mute , rebondi et autres coquecigrues distillées par des hyper-diplômés qui ont fait croire à un ennemi viral guettant , surveillant , suivant ,persécutant. Même un ancien directeur général de la santé, William Dab, allait jusqu’à parler d’« un ennemi qui attaque dès qu’il en a l’occasion en profitant de chacune de nos faiblesses »( Le Monde 14 juin 2020,p.6).
D’où les barrières métalliques dans les marchés pour ne pas approcher les étals ; les propos incohérents , confus , sur la nicotine, la chloroquine , les masques inutiles puis indispensables ; l’enfermement à vie des vieux ; les comportements étranges. On a vu ainsi un maire interdire de marcher à plus de 10 mètres de sa maison. Le maire de Béziers est allé lui jusqu’à faire enlever tous les bancs de sa ville pour ne pas se contaminer par l’arrière train en s’y posant et il n’a pas été interné..., comme atteint par ce que BHL a appelé « ce virus qui rend fou ».
Quand DSM III mentionne l’humeur changeante où en quelques minutes la personne peut passer de l’apathie à être anormalement surexcitée, comment ne pas reconnaître aussi des milliers de personnes qui brutalement ouvrent leurs fenêtres, apparaissent sur des balcons, s’agitent, crient, applaudissent dans le vide, chatent à tue tête, puis aussi brutalement se renferment pour 24 h de plus. Or une personne qui tous les soirs à 20h chanterait la marseillaise à sa fenêtre, mettrait une sono plein pot et sauterait sur place en criant à son balcon, évidemment qu’un voisin appellerait le Samu et que le préfet prendrait un arrêté d’internement . Pourtant du 20 mars au 11 Mai 2020, 65 millions de français ont eu ce tableau clinique, comme en Italie aussi et donc évidemment il n’y a pas eu d’internement de masse possible. Puisque les troubles étant devenus la norme statistique, ils cessaient d’être « a » normaux ;
Pour autant, le tableau du comportement psychotique a bien été là. Plus tard, comme pour l’asphyxie d’ Adama Traoré, les historiens discuteront le point de savoir si ce virus a réellement « rendu fou » , comme le pense le docteur légiste de la philosophie Bernard Henry Lévy. Mais en toute hypothèse, en plus d’avoir frappé en priorité les vieux, les gros, les sucrés et les hypertendus, il a manifestement ciblé aussi le néo cortex des dirigeants politiques, les conduisant à des comportements étranges et à des décisions absurdes. J’en dresse maintenant le constat
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Du même auteur :
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La guerre et le droit, Pedone 1983.
-
Lettre ouverte au contribuable, Albin Michel, 1985.
-
La Nouvelle Calédonie, la stratégie, le droit et la République, Préface d’Alain Poher, Pedone, 1985.
-
Le Commerce des armes de guerre, Que Sais-je ? PUF, 1985, traduction Téhéran. 1789-1989,
-
La Révolution fiscale à refaire, Litec 1988. L’impôt sur le revenu en question, Litec 1989.
-
Autant en emporte l’Europe, Jean- Cyril Godefroy, 1989
-
La fraude fiscale, Que sais-je ? PUF, 1990. Traduction Mexico
-
Droit budgétaire, budgets locaux, budget de la sécurité sociale, budget de l’État, budget européen, Litec 1999.
-
Europe–États-Unis, la guerre agricole de 40 ans, L’Harmattan, 2003.
-
La faucille ou le Mc Do, L’Europe et les États-Unis dans le nouvel ordre alimentaire mondial, Lettres du Monde 2003.
-
Une constitution fiscale pour l’Europe, Lettres du Monde, 2004.
-
Les droits de douane déductibles, contre le retour du protectionnisme, L’Harmattan, 2008.
-
Les 7 sujets dont les candidats à la présidentielle ne vous parlent pas, France-Empire,
-
2012Mohammed VI, Le roi stabilisateur, Jean-Cyrille Godefroy, 2015, traduction Madrid.
-
L’OMC de Marrakech à Washington, L’Harmattan, 2017.
-
Ma République des maires. En finir avec la présidentielle, Jean-Cyrille Godefroy, 2017.
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Dictionnaire irrévérencieux du Parlement européen, 2019